Bison

Aucun animal européen ne peut se vanter de posséder une stature aussi imposante que celle du bison : presque deux mètres de haut et trois de long. Sa grosse tête et surmonter de cornes spectaculaires ; une touffe de poils hirsutes, taillée à la mode des « beatniks », ombragent deux yeux vifs et un peu féroces. Sa barbe lui confère un air de conspirateur du XVIIe siècle ; cependant le bison possède une certaine élégance, grâce à la crinière qui lui protège le cou, étole d'une rare valeur. Rapide à la course est habile à sauter, il aime se rouler sur le sol.

Pourtant, un fonds de timides et déclenche chez lui une véritable panique à la vue de l'homme et le bison en colère devient terrible : tout est écrasé et pulvérisé sous la charge terrible de ses 600 kilos. Savez-vous ce qu'il faudrait manger pour devenir fort comme un bison ? Des racines et des petites feuilles, car ce géant des forêts primitives est uniquement herbivore.

Les bisons heureux et à le vivre, sous la protection des gouvernements, dans quelques forêts de Pologne et d'URSS. Les bisons vivaient en Gaule au VIIe siècle.

Ses aliments préférés : Des graminées et des herbes sauvages.

De larges taches, véritables cicatrices sur le tronc des arbres, dont l'écorce est continuellement arrachée par le choc des cornes, établissent les frontières des territoires des bisons mâles. Pour rendre ce signe plus visible, l'animal de l'enduit de boue.

En plein coeur de l'été, le loup un orphelin se dispute la maîtrise du troupeau. Ils s'affrontent et se heurtent, soufflant et mugissant puissamment. Parfois, les redoutables coups de têtes sont mortels pour les animaux les plus faibles.

Les femelles des bisons, très attachés à leurs petits, les protègent jalousement : elles affrontent quiconque ose s'approcher deux, même à une certaine distance. Craignant toujours pour la vie du petit bison, maman bison, charge sur-le-champ, avec beaucoup de courage la voiture des reporters venus pour observer et photographier la vie de ces puissants mammifères dans un parc zoologique.

Habituellement, les bisons se rendent dans quelques clairières du parc de Bialowieza ; la, ils se roulent dans la poussière pour se débarrasser des vermines dont ils sont infestés. Ils ne perdent même pas cette habitude en hiver, bien au contraire, il semble que la neige leur procure encore plus de volupté.

Les intempéries ne dérangent pas trop les bisons ; ils sont bien protégés par leur fourrure épaisse et fournie. Au printemps, le manteau d'hiver de ces colosses s'allège, et leurs poils tombent par grosses touffes ; mais il est immédiatement remplacé par un habit tout neuf, « sur mesure », qui durera un an.